Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, original 1557.pdf/32

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Après avoir quitté ce port, nous allâmes à un autre situé à quarante milles de là, et nommé port des Buttugaris, où nous espérions faire un chargement de bois du Brésil, et acheter des vivres aux sauvages.

Nous y trouvâmes un vaisseau français, que l’on chargeait de bois. Nous nous empressâmes de l’attaquer,