Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, original 1557.pdf/93

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Le vaisseau dont je viens de parler tira un coup de canon, en arrivant, pour avertir les sauvages. Les Portugais s’étant informés si je vivais encore, ils leur répondirent que oui. Alors ils demandèrent à me voir, disant que mon frère, qui était aussi Français, leur apportait une caisse de marchandises.