Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, trad Ternaux, Arthus Bertrand 1837.djvu/111

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CHAPITRE XXII.


Comment mes deux maîtres vinrent me trouver pour m’annoncer qu’ils m’avaient donné à un de leur amis, qui devait me garder, et me tuer quand le temps serait venu de me manger.


Je ne connaissais pas alors les usages des Indiens comme je les ai appris depuis, et je pensais qu’on allait me tuer, quand je vis arriver mes deux maîtres, dont l’un se nommait Jeppipo Wasu, et l’autre, qui était son frère, Alkindar Miri. Ils m’annoncèrent qu’ils m’a-