Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, trad Ternaux, Arthus Bertrand 1837.djvu/115

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CHAPITRE XXIII.


Comment les Indiens me firent danser devant la cabane qui contient leurs idoles, nommés Tamerka.


Elles me conduisirent, de l’endroit où elles m’avaient coupé les sourcils, devant la cabane où se trouvent leurs Tamerka ou idoles. Elles formèrent ensuite un cercle au milieu duquel je fus placé. Deux femmes s’approchèrent de moi, et m’attachèrent à la jambe un cordon garni de grelots, qui faisaient du