Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, trad Ternaux, Arthus Bertrand 1837.djvu/125

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CHAPITRE XXVI.


Comment un Français que les vaisseaux avaient laissé chez les Indiens vint me voir, et leur dit qu’ils pouvaient me manger et que j’étais Portugais.


Il y avait, à quatre milles de là, un Français qui, ayant appris cette nouvelle, se hâta d’arriver, et se rendit dans la cabane en face de celle où je me trouvais. Les sauvages accoururent en me criant : Voilà un Français qui vient d’arriver, nous allons savoir si tu es ou non son compatriote. Cette nouvel le me réjouit