Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, trad Ternaux, Arthus Bertrand 1837.djvu/170

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Avant mon départ, Alkindar Miri, m’avait de nouveau menacé de me mettre à mort. A mon retour, il se trouva qu’il avait été attaqué d’un mal d’yeux, et était devenu presque aveugle. Il me supplia alors de prier mon Dieu de lui rendre la vue. Je le lui promis, à condition qu’il ne me maltraiterait plus. Il y consentit, et heureusement pour moi il fut guéri au bout de quelques jours.