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LE JOURNAL— LE MAL TOUJOURS.


“Le journal tient pour vrai tout ce qui est probable.”

Honoré de Balzac. Illusions perdues, Vol. II., p. 115,—(Lousteau.)

 " In journalism every thing that is probable is true.”

“Le laboureur sur la terre infertile
Ne pique beuf, ne charrue ne meine;
Bien est il vray que champ gras et utile
Donne travail; mais plaisante est la peine.”

Clément Marot. Epigrammes, CLIX.—A M. Castellanus.

“The ploughman guideth not the plough,
Nor goadeth ox, on barren soil;
Eich fertile land, ’tis true enow,
Gives work, but pleasant is the toil.”

“Le magasin de la memoire est volontiers plus fourny de matière que n’est celui de l’invention.”

Montaigne. Essais, J., 9. (P. 30.)

“The storehouse of the memory is generally better furnished with material
than that of the imagination.”

“Le mal a des ailes, et le bien va a pas de tortue.”

Voltaire. Lettre à M. de s’Gravesande, 1737. (Vol. IX., p. 280.)

“Evil has wings, but good travels at tortoise-pace.”

“Le mal cherche le mal et qui soujBEre nous aide.
L’homme pent hair l’homme, et fuir, mais malgre lui,
Sa douleur tend la main à la douleur d’autrui.”

De Musset. Les Vœux SUriles. (Premières Poésies, p. 186.)

“Ills seek out ills; and he who suffers brings us aid.
Though man hate man, and shun him, in his own despite.
His grief extends the hand to others’ evil plight.”

“Le mal des gens d’esprit c’est leur indifference,
Celui des gens de cœur leur inutilite.”

De Musset. Sur la Paresse. (Poésies Nouvelles, p. 227.)

“The fault of men of talent ’s their indifference,
And that of men of heart their uselessness ”

“Le mal est, qu’habillant nos vices en vertus,
Notre erreur est toujours ce qui nous plait le plus.”

Regnard. Epître d M. le Marquis de * * * (Ed. 1790. Vol. IV., p. 389.)

“Alas! we dress as virtues all our vices,
And ’tis our greatest fault that most entices.”

“Le mal qu’on dit d’autrui ne produit que du mal.”

Boileau. Satires, VII., 4.

“Evil of another spoken nought but evil can produce.”

“Le mal toujours croist du souci.”

Jodelle. L’Eugène, Act IV., Sc. III.—(Florimond.)

“By brooding o’er our ills we make them greater,”