Page:Harvey - La Circulation du sang, trad. Richet, 1879.djvu/185

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un aussi large orifice, c’est qu’elle contient bien plus de sang qu’il n’en faut pour nourrir les poumons.

Tous ces phénomènes que j’ai observés en disséquant, ainsi que beaucoup d’autres qu’il faudrait développer avec talent, peuvent éclairer et confirmer la vérité de ce que nous avons exposé plus haut, et contredire les idées généralement reçues. Mais il me semble qu’il serait bien difficile de les expliquer autrement que nous l’avons fait[1].


  1. Voyez la note 3.