Page:Hatin - Histoire du journal en France.djvu/63

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de la Magistrature, du Sacerdoce et du Militaire (épigr. : Dieu et l’honneur) ; — le Journal du Soir, ou le Petit Page (épigr. : Ô Louis ! ô mon roi ! sur la terre n’est-il que moi…) ; — le Journal électoral ; — le Journal des Fonctionnaires ; — le Journal des Communes ; — le Journal des Municipalités et Assemblées administratives ; — le Journal du Bonhomme Richard ; — le Journal du Diable ; — le Journal prophétique ; — le Journal des Bons et des Mauvais ; — le Journal des Mécontents ; — le Journal des Réclamations ; — le Journal des Paresseux, qui « donnait tout en peu de mots » ; — le Journal des Incroyables, ou les Hommes à parole d’honneur ; — le Journal des Rieurs ; — le Journal Nouveau, journal en chansons, avec cette épigraphe : Te, veniente die, te, decedente, canebant.

Sous la même acception doivent se ranger les Bulletins, Gazettes, Feuilles, Annales, Chroniques, etc., tels que le Bulletin général de la France et de l’Europe ; — le Bulletin national ; — le Bulletin décadaire de la République française ; — le Bulletin de Paris ; — le Bulletin des Séances des États Généraux ; — le Bulletin de l’Assemblée Nationale, par Maret ; — le Bulletin de l’Assemblée Nationale législative, puis de la Convention ; — le Bulletin des Armées et de la Convention Nationale, journal du soir ; — le Bulletin du Tribunal Révolutionnaire ; — le Bulletin des Amis de la Vérité ; — le Bulletin des Frères et Amis ; — le Bulletin d’Aujourd’hui ; — le Bulletin du Soir ; — le Bulletin de la Semaine ; — le Bulletin des Bulletins.

La Gazette universelle ; — la Gazette nationale ; — la Gazette officielle ; — la Gazette du Peuple ;