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Page:Hauser - Les Balkaniques, 1913.djvu/111

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Nos paupières, Allah ! de larmes sont baignées !
Nous avions espéré qu’après cette saignée
Qui décima nos bataillons mal préparés,
Nous nous rassemblerions autour des plis sacrés
De l’Étendard Vert du Prophète,
Mais voici que s’aggrave, hélas, notre défaite !
Dans nos rangs épuisés par de sanglants combats,
Des soldats valeureux mettent les armes bas ;
Bien plus terrible que les troupes ennemies
Une effroyable épidémie