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Page:Hauser - Les Balkaniques, 1913.djvu/35

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Monte à cheval, mon vaillant Capitaine !
Le canon tonne, et ton coursier frémit !
Prends avec toi ce brin de marjolaine,
Et ne fais pas quartier à l’ennemi !

Songe aux enfants volés dans nos villages,
Aux cris d’horreur des femmes qu’on força,
Songe aux chrétiens réduits en esclavage,
Plus maltraités que ne sont des forçats !