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Page:Hauser - Les Balkaniques, 1913.djvu/36

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Songe au bâton sous lequel on nous ploie,
Aux assassins qui rougissent nos champs ;
Si tu reviens triomphant, quelle joie !
Notre pays te dédiera ses chants !

Vite ! À cheval ! Par les sentiers de chèvres,
Élance-toi, joyeux, mon bel amant !
Tu cueilleras la rose sur mes lèvres,
Si tu reviens vainqueur du Musulman !