Aller au contenu

Page:Hauser - Les Balkaniques, 1913.djvu/69

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Pleure, mon Padischah, pleure sur les malheurs
De ton Empire en deuil ; et cependant, écoute…
Le sang de ton pays s’écoule, goutte à goutte ;
Mais connais-tu, dis-moi, le nom de l’égorgeur ?

Ce nom, ô Commandeur des Croyants, c’est le tien !
Oui, c’est toi, l’Assassin de ton peuple ! l’Orage
N’éclata sur Stamboul, qu’après mille carnages
Qui remplirent d’horreur tous les peuples chrétiens !