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Page:Hawthorne, La maison aux sept pignons, Hachette, 1886.djvu/47

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nous, nous trouverions sur le masque de fer que porte le Destin une teinte d’ironie mêlée à son expression d’inflexible rigueur. Ce qu’on appelle « la seconde vue poétique » est la faculté de discerner — dans cette sphère d’éléments si étrangement mêlés — la beauté, la majesté réduites à se dissimuler sous de si sordides haillons.