Page:Helvétius - Œuvres complètes d’Helvétius, tome 13.djvu/174

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le veut bien. Présenté par vous, il ne peut être que bien venu. Je serai charmé qu’il s’attache à vous ; je suis le plus trompé du monde s’il n’est né avec du génie, et des mœurs aimables. Vous êtes un enfant bien charmant de cultiver les lettres à votre âge avec tant d’ardeur, et d’encourager encore les autres ; on ne peut trop vous aimer. Amenez donc ce grand garçon. Mme du Châtelet et Mme de Chambonin vous font mille compliments.

Adieu, jusqu’au plaisir de vous embrasser.

Ce 2 avril.