Page:Helvétius - Œuvres complètes d’Helvétius, tome 13.djvu/218

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pas Simon Barjone ; ce n’est pas non plus le Pierre russe que je vous avois dépêché par la poste : ce doit être un Pierre en feuilles que Robin mouton devoit vous remettre. Je vous en ai envoyé deux reliés, un pour vous, et l’autre pour M. Saurin. Il a plu à MM. les intendants des postes de se départir des courtoisies qu’ils avoient ci-devant pour moi. Ils ont prétendu qu’on ne devoit envoyer aucun livre relié. Douze exemplaires ont été perdus. C’est l’antre du lion. J’ignore même si un gros paquet a été rendu à M. Duclos.

De quelles tracasseries me parlez-vous ? Je n’en ai essuyé ni pu essuyer aucune. Est-ce de frere Menou ? Ah ! rassurez-vous : les jésuites ne peuvent me faire de mal ; c’est moi qui ai l’honneur de leur en faire. Je m’occupe actuellement à déposséder les