Page:Helvétius - Œuvres complètes d’Helvétius, tome 13.djvu/247

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lez les requêtes des filles qui veulent communier : on ne sait plus comment faire avec vous.

Les jansénistes, les convulsionnaires, gouvernent donc Paris. C’est bien pis que le regne des jésuites. Il y avoit des accommodements avec le ciel du temps qu’ils avoient du crédit ; mais les jansénistes sont impitoyables. Est-ce que la proposition honnête et modeste d’étrangler le dernier jésuite avec les boyaux du dernier janséniste ne pourrait amener les choses à quelque conciliation ?

Je suis bien consolé de voir Saurin de l’académie. Si le Franc de Pompignan avoit eu dans notre troupe l’autorité qu’il y prétendoit, j’aurois prié qu’on me rayât du tableau comme on a exclus Huern de la matricule des avocats.

Je trouve que notre philosophe