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comme le remarquent Plutarque et Platon, souvent été les plus braves et les plus courageuses ; que le desir ardent des femmes ne peut jamais être regardé comme une preuve de la foiblesse du tempérament des Asiatiques[1] ; et qu’enfin, long-temps avant Mahomet, Odin avoit établi chez les nations les plus septentrionales une religion absolument semblable à celle du prophete de l’Orient[2].
Forcé d’abandonner cette opinion, et de restituer, si j’ose le dire, l’ame et le corps aux Asiatiques, on a cher-