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Benjamin Rozes




I



Le matin où il s’aperçut de ce qui lui survenait, durant sa promenade habituelle, le long d’une petite source dont la voix était rieuse, presque à l’entrée d’un bois situé à une demi-lieue du pays natal, M. Rozes, accroupi, déculotté, ancien notaire, se releva tout pâle.

La journée de juillet s’annonçait splendide. Mille fleurettes piquaient l’herbe ; un souffle parfumait la soli-