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LE SUPPLICE DE PHÈDRE

fixement, tourmentée par l’envie de le questionner et d’obtenir qu’il lui livrât la cause de son trouble. Mais la présence de sa fillette lui rendit du calme. Elle saisit une cuiller, se servit d’un mets. Puis elle reprit avec l’accent de l’admiration :

— Elle est étonnante, cette femme-là ! Avoir un fils… je ne sais pas… d’au moins vingt-cinq ans, peut-être marié, déjà père, et danser comme une folle au Sémiramis… Je voudrais bien lui ressembler quand j’aurai son âge !