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Page:Henri Deberly Le Supplice de Phèdre 1926.djvu/215

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LE SUPPLICE DE PHÈDRE

Elle se disposait à sortir. Comme elle avait encore un pied dans l’appartement, Mme Aliscan l’arrêta.

Ses beaux yeux répandaient une étrange lueur.

— Puisque, fit-elle, nous sommes deux mères, écoutez ceci… dont j’étais sûre, prononça-t-elle avec désespoir, et que m’a confirmé notre affreuse rencontre. Ce n’est pas comme un fils que vous aimez Marc ! C’est autrement… Tout autrement… Regardez en vous…

Elle fit entendre un long soupir.

— Madame, je vous plains !