puisse faire bailler les depesches qui leur seront à ceste fin necessaires, pour employer le dict revenu aux fortifications de leur dicte ville. Et mon intention est qu’il ne leur soit donné empeschement à la perception du dict revenu et fruictz. Sur ce, je prie Dieu vous tenir, Monsr de Scorbiac, en sa saincte et digne garde. De Cahors, le vje juin 1580.
[1] Monsr de Scorbiac, Je vous prie me venir trouver le plus tost que vous pourrés.
Cop. – B. R. Fonds Leydet, Mém. mss. sur Geoffroy de Vivans, p. 84.
Monsr de Vivans, J’ay esté bien ayse d’avoir entendu de vos nouvelles par le capitaine Battereau, auquel j’ay donné charge de vous faire entendre mon intention sur ce que vous avez à faire sur la façon de vous gouverner, attendant que je vous voye. Il vous dira les importunités dont on m’a usé. De quoy et de toutes autres particularités que je lui ay dites me remettant à luy (et vous prie de le croire comme moy mesme), je ne vous feray la presente [plus longue].
De Cahours, ce ixe jour de juin 1580.
Orig. autographe. – Arch. de M. le comte H. C. de Meslon, à Rauzan. Communiqué par M. le secrétaire général du département de la Gironde.
Melon, Je viens de recepvoir la lettre de Lartigue que m’avés envoyée, où il me mande que marchés, Ste Terre, Lambertie[2] et vous ;