_ DU ROI DE NAYÀBHE. lill ". [l588.]—2o nÉcEMBa r1.—III“‘°...., Orig. autographe. — B. B. Fonds des Cinq-cents de Colbert, Ms. ll02. I A MOî\lS" DE SEGUB. i I Mons" de Segur, Ayant sceu que vostre fievre vous augmentoitl,. "a de esché ce la ais ex rés our savoir de vos nouvelles ; et si . J Y P P P,.. aves ailaire de m' Hortoman’, je vous le envoyeray. S1 je n’esto1s à la ; teste de- mons' de Nevers“, j'irois vous voir et vous assister avec autant diailection e si vous estiés mon ere. A Dieu, Mons' de Se ur, le-. qu. P S i qllël JB PPYC VOUS dOIlIlCI‘ 13. S8DÉé_qI.1€J€ CICSIIÈB POI1I‘ IIlOy-IIIGSUIB. Vostre tres afliectionné 'inaistre et parfaict amv, - ` HENRY.. ' [1588.-] - Q2, DÉCDMPBE. Drig. autographe.-- Bibliothrde i’Arsenal, Mss. Histoire, ` n° 179, Ll". Cop. — B. B. 8uppl.lr. Ms..2289-2_, et Ms. 1009-4. Imprimé.-Mercure de France, année 1iy65, janvier, vol. ll, p. 5(i.—L'Esprit de Henri IV. Paris, _ 1770, in-8°, p. 15l ;. —— Wcumlilitaire ct privéeide Hçnri IK Paris, an xir, iu-8°, p. [io. — Lettres ` Je Henri lV, etc. publiées par N. P, Paris, îgl A, in 1 2, p. 87. -- Journal militgire'de’HenH' IV, par M. le comte un VALom. Parîs,'18z'1, in-8°,‘p. 2193:, ' ; l [A MADAME LA DEGRAMCNT.] i H Vous me pensiés soulagé pour estre retiré en I1OS g3I’IllSQl1S Vrai- ment si il se refaisoit encore une assemblée, jedeviendrois fou. Tout est achevé et bien, Dieu mercy. Je m’en vois à SÈ_Jean assembler nos troupes, pour visiter mons' de Nevers, et peut—est1 e luy faire un si- gnale desplaisir, non en sa personne, mais en sa charge]. Vous en ' Voyez la lettre 'vers la mi-décembre Jean Hortoman devint son medecin ordi- ` . 1588, Il"". f `, naire. Jean du Jon succéda à Hortoman ` ’ Médecin du roi de_Navarre. Après l'a- en 1598. vénement de ce prince au trône de France, 3 Voyezlalettre du 1(idécembre 1588,1“. ‘ Il s’agissai|; de la ville de Niort, que après. ¤ à la barbe de M. de Nevers, ¤ écrit le roi de Navarre surprit quelques jours du Plessis—Mornay. i ba ;
