mesmes la loy. Ce que je trouve bien dur et presque insupportable.
l’outesl’ois, Monseigneur, je ne puis quicter encore Yesperance que
iay tousjours eue en la bonté., justice et amour de Vostre Majesté envers ses serviteurs, ses subjects et son Estat. J’attends quelle me declare sur ce sa volonté, à laquelle je mettray peine de me conformer
autant que se pourra estendre la vie mesme de i
Vostre tres humble et tres obeissant subject et serviteur,
i Je vous supplie tres humblement, Monseigneur, commander que ma declaration soit imprimée, et me permettre que je puisse, par ce moyan, faire connoistre à chascun quelleest mon intention. [ 1585.- — 1 o JUILLET.] — II". ` Cop. — B. B. Fonds des Cinq-cents de Colbert, Ms. 16, fol. 2 1/i recto. Cop. — Biblioth. Ambrosienne, Ms. D. (160. Communication de M. Catena, préfet de la biblio-, thèque. Envoi de M. le consul général de France à Milan. ' [_A LABOYNE, MERE DU ROY MON SEIGNEUR.] A Madame, i Je mlestoie tousjourstant reposé sur le soing et travail continuel que.Vostre Majesté prend pour le bien et conservation de cest Estat, Sainct-Dizier, Reims, Soissons, lecl1asteau busiers à cheval, qu’il donna à tous les _ de Dijon, la ville etle chasteau de Beaune, princes de cette ligue » ( Histoire des der- Buë en Picardie, Dinan et Conquet en Bre- niers troubles de France, l. I, fol. 23 recto, tagne. Le Roi paya deux cens un mil six édition de 1606, in-8°.) Ce désastreux ‘ escus deux tiers, pour les gens de guerre traité fut signé de Catherine de Médicis, ’ estrangers qu'ils avoient levez, les deschar du cardinal de Bourbon, du cardinal et du gea de cent six mille troiscens quarante es- duc de Guise, et du duc de Mayenne. Les ` - cus huict sols trois deniers, qu'ils avoient lettres patentes données en conséquence, pris aux receptcs generales, et cent mille malgré Yopposition du Parlement, furent escus pour bastir une citadelle à Verdun, enregistrées le 18 juillet suivant, en lit de outre Ventretenement des gardes d’arque- justice.
