2-70 LETTRES MISASIVES detplus recourir à nouspour cest eilect, vous advisant que vous ieres,. ce faisant, chose digne de Yasseurance que nous avons de vostre equite et alïection au bien de nos aiiaires et qui nous sera trés agreable. Donné au camp de Gisors, le vi1_]° octobre 15901. . ` HENRY. i norm :. —, 1590. — Il ocromuz. ' Orig. — Archives de M. le vicomte de Gauville, communication de M. Floquet, correspondant de l’Institut. A MONS" DE GAUVILLE, ‘ rxnucrsnwr ni : LA commcmrm D’HOMMES nnumizs nn s' ne csanoucn. _ Mons' de Gauville, Il se presente une occasion pour mon ser- vice, a laquelle je m’asseure que vous series bien marry de faillir et n’estre pas des premiers à m’y accompagner. A ceste cause, je vous prie vous rendre à Evreux avecq vostre compagnie et tout ce que. vous pourrés mettre de vos amys à cheval, dans lundy ou mardyaù plus tard, et vous en venir avecq le s' de Carrouges au lieu que je luy ordonneray, sans bagage, dlaultant que le voyage ne sera que de liuict ou dix jours seulement. 'En ceste asseurance, je prie Dieu u'il vous a t, Mons' de Gauville, en sa sainctc et di ne arde. Es- cl y É .. crxpt au camp de Gisors, le xf Jour d’0cto’bre 1 5go. — . Q A e HENRY. ' nuzs. I ‘ Les registres secrets du parlementde esmoticns ; enjoint en mesme temps aux _ Normandie ajoutent a la transcription de oliiciers des bailliages de faire executer cette lettre : «Deliberé que les conseillers lordonnance de la court. » On peut voir depputez vers Sa Majesté luy represente- sur cet événement l'Histoire du parle- ront que la court en a ainsy usé pour la ment de Normandie, par M. Floquet, t. Ill ; q police et afin d’eviter les murmureset .p.550 et suivantes,
