I — i DE HENRI lV. 37 i DQSÈTC 'gI`3.I'1(l. SC€(*1'Ll` Cl1Sll €iSlÉé PI'éS ClC' IIOUS II, lCSql10l.l€S 11€&Il'l.Ã1'l]OlI`1S ’ nous vous envoyerons au plus tost. Ce pendant ne laisserés d’e ce faire et de tenir la main que nostre chancellerie continue comme il- est re- quis ; et vous nous ferés chose trés agreable. Donne au camp devant Rouen, le 1°" jour de septembre 1589.. i ' — - 4 _— HENRY. . rorxen. ‘ [1589.]- 2 SEPTEMBRE. "I `U U Imprimé'. — Histoire des- antiquités de la ville et du duché d’Orléans, par Lmurnn. Orléans, i6l15, i in-li°, I" partie, p. ligo. — Histoire généalogique des pairs de France, etc. PQPCOURCBLLES, t. ll. - —Généa1ogie de la _fa.mille Cola.s, p. 7, note.,, _ D [Au `s ne LA BOBDE.]i i La Borde 1, J'estois present lorsque le feu. Roy, monseigneur et frere, que Dieu absolve, vous escrivit ; et me dict la confiance qu’il . avoit en la fidelité et prud’homie du bon homme vostre pere’ et la vostre ; et qu’une sienne servante`, qu'il’cognoissoit l’emme’de bien et i dihonneur, luy tesmolgnas. Jay bien voulu par ceste mesme voie Vous ' Sur la manière dont les sceaux étaient gue, voyez, ci-dessus, la lettre du 2 août,, apposés dans les commencements du ré- Il"", à M. de Montholou, note 1. ' Michel Colas, seigneur dela Borde, i 1559, i56o, 1567 et 1568, maire en second fils de Francois Colas, seigneur 1572, 1580, 1581, 1582 et 1585, _mou- des Francs, de Poinville, de la Borde, etc. rut dans un âge très-avancé, le 26 octo- . D et de Jeanne Durand, était d’une ancienne bre 1598. . . Q ' et lionorablefamille d’Orléans, où il rem- ° Malgré cette longue suite de bons et plit, comme plusieurs de ses aïeux, la loyaux services, on ; avait cherché il des- charge d'échevin. Cette famille -s'est con- servir M.ide la Bordehle père, dans Tes- . tinuée et a pour chef aujourdhui M. Go» prit de Henri HI ;` mais ilfut justiliépar . las de la Noue, ancien président à la cour une dame que ce prince chargea, le 16 i royale d’Orléans. juin 1589, de remettre à son fils la lettre ° Francois Colas, fils de Francois Co- rappelée ici par Henri IV. On y lit : «.l'ay las et de Madeleine Bourgoing, échevin toujours estimé la preud’homie vostre - d’Orléans en 15l13, 15l1â. 1553, 155!1, bon-hoïnme de pere, dont‘ d'Entraigues
