Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome3.djvu/648

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pourries faire, `ùC’est pourquov je vous prie, mon Cousin, d`àutqnt vous ziimés le bien de fmonî service, particulierement ce qui concerne vosire gou ve1?n»eznent,"cle.‘ ne taxfdêr davàmàiqe âr_vo, us y àcb e»rnin’er. JiBÈCI ;iB : À\1_X `l}2il?l’lQll.HSÈilê ’I.ià~ug=fes’po1ir les `assèurer de la volonlïéi que jlaysçlegilês’seucouitiiiiet de libvrer delioppression du duc de Lorraine. Je vous prie de leur escrire de vostre part, et les asseurer que bien tost vous serés pres d'eulx : et esperant vous faire sçavoir bien tost ce qui se passera entre ces deux armées, je ne vous feray ceste-cy plus longue, priant Dieu, mon Cousin, qu’il vous ayt en sa Saincte et digne garde. Du camp de Gouy, le xxije jour d'avril 1592.

HENRY

POTIER

` 1592. - - 2`3 Avmn.-1*re

Orig. -- B. B. Fonds Béthune, Ms. 9109., fol. 555. 4

COP. S}1PPl l’I`. Ms. loO9 3. - __

imprimé. --illafmoires de Nevers, t. II, p. 320. h

A MON COUSIN LE DUC DE NIVEBNOIS, U

mn nia i»ixsucn,¤"coLuvnn :<uun ET 1l5ON ’[..6IiîlJQTENAl*JT GENERAL EN cusmnionn nr sms.

MON COUSIN, Le desir que jlgyiile vous donner le plus de moyen D queflà neoessite de 1nes_ ufleires peut permettre, pour l'enfrelenenïent des foroes, qu’i._me doibvent servir prés de v¤uS`èh_‘ v6Sm> gouverne? ment ; et des garnisons _d’ieèluy, m’al’aici depescher les ordonnances que je vous envoye cy-enclqses,;lesquellesâie, v’ouAs prie faire effectuer, et idesdeniers qui en provien-dront’pburvoirià lentxiêtenement deS garnisons de Dimont, Tuiny, Viiudur el—Aynon, qui iestë obmises Tannée passée et presente sur l’est’st des gàrnisons de là dicte pro- vinee, selon que vous jugerés estr’e'1 equ’is pour lé bien de mon ser- vice et soullagement de mes subjects ; et en cas que vous trouviés i qu’il y ayt _quelqu’une des dictes garnisons qui ne soit necessaire, je vous prie pourveoir à leur payement du passé et les licencier : et