6,3Él x LETTRES MISSINES le maistre de camp la Garde, Sainct—Bemy 3.. Je—.vous.;garde lescoiz- nettes pour parerzlieglise de, Louviers, et<espere, >avec l'ayde de Dieu, que nous aurons de quoy -parer» force aultres. Bniés Dieu pour nous : etje leprje qu’il vous ayt, mon.—Cousin, en sa garde. Le Àx_]° may, Yvetot,,1;5g2. . ., " . . - HENRY. l A Tous les chariots des reistres ont esté bruslez ; les François de Yen- nemyisont passez à Quillebceul`. " i I _ _ 1592. —— 11 MM. — II"":. Qrig. — B. H. Fonds Saint-Germain Harlay, Ms. 1024 ancien, pièce 200. . A MONS“ DE MAISSE, E ‘ coxvszxttnn un Mon coxsxm. n ¤srA r, nr nou Amnassannun A vemzu. 1 Mons' de Maisse, Depuis que je me levay de devant Bouen, pour convertir le siege en une bataille, si je y pouvois attirer les ennemys, aprés que jiaurois un peu de renfort (comme dans quatre ou cinq jours il nfen vint tant que aussy tost je nfacheminay pour en appro- cher), je vous ay adverty de ce qui s’est passe de Padvantaige que Dieu ' m’a donneen tout ce que j’ay entreprins sur eulx, vous en ayant en- . voye des memoires bien particuliers où vous aures aussy veuliestat et necessite où ils estoientreduicts. A- present je vous en envoye encores un aultre, par lequel vous apprendres leur deslogement et ce que _ jientreprins et executay encores le jour d’hyer sur leur cavallerie ; qui n’est pas- pour diminuer letu dicte necessite ; mais j’espere que Dieu me fera la. grace. que je feray perdre le chemin ou l’envie à ceulx qui restent, de plus revenir ravager et troubler ce royaume, _ comme je sçais enfin retorqueratelles iniques entreprises ou don1— E Diane de Rohan. Il ;l’ut tué duel à Paris, tenant de la compagnie. du vicomte d’Au- . en 1605. cliy et mestre de camp, etait le fils aîné ° Antoine de ConHans, seigneur de d'i\ntoine de Conllans et de Françoise Saint—Bemy, et dÃEnnoncourt-le-Sec, lieu- Boulard. .
