_ V . DE_ HENBl IV.i, 765 ( ", [1593.]--o8.Aiv1u1j. i K Orig. autographe. ~—î`B. B. Suppl. fr. Ms.- l9S9, fol.•27. t A,‘ , A Mouse DE SOUVBÉ, -_ E ., ET EN SON. AESENCE AU. MAIRE DE MA` VIl LE_ DE TOURS. _ La Gode, Je vous fais ce mot pour vous dire que, si tant est que `mon cousin le comte de Soissons se presentast pour entrer en ma ville de Tours, comme _i’ay eu advis qu’il vouloit faire, vous ne Py laissiés entrer, que premierement, sur cela, vous n’ayés aultre com- mandement de moy. Et si, pour les occasions qui se peuvent presen ‘ . ter pour mon service, je vous mandois as me venir_ trouver, vous ferés entendre cestemienne volonté aux maire et esclievins de ma ville. Mais tenés cest affaire segrete :, et ceste-cy n’estant à aultre fin, , je prieray Dieu qu’ilUvous ayt, la `Gode, e'n_', sai.sain'cte igarde. Ce —/ xxviif jour d’avril, a Nlante. `, _, ; HENRY. . , i l593.—[i MA :. î; . ;,., _ ; __ Cop. —— Arch. de la cour royale de Bouem Registres secrets orig. du parlement de Normandie, séant V à Caen, vol. de février à la lin de juillet ; 593, fol. gl ; recto. Communication de M.<Floquet. A NOS AMEZ ET FEAULX LES GENS TENANS*NOS'l’BE— COURT I DE PARLEMENT _A CAEN. A ; . .. U Nos amez et feaulx, Le refus qui a este par vous faict à~m“ Jacques ; I Moynet, conseiller en nostre court de parlement de Normandie, de luy laisser continuer Pexercice de son ofiice (comme il ai faict depuis ces troubles jusques au siege de Rouen, qu’il seroit venu en nostre armée pour quelques siens affaires), soubs pretexte que depuis quel- que temps il faict profession de la religion pretendue Irefforinee, nous a donné occasion de luy faire expedier surice no's’l€tlres —pa- _. ~ tentes, à vous adressantes, lesquelles voulions sortir effect. —À, ceste. cause, nous vous mandons et ordonnons que, le faisant joyr du con- tenu dicelles, vous ayés à permettre au dict Moynet l’entrée et séance en nostre dicte court, et luy laisser continuer, l’e>;ercice desoiidict ¢ l/
