Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome4.djvu/205

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_ I DE HENRI 1V. . I'87 zele à vous y employer, et ne manqueray, pour ma part, à recognoistre pour vostre prollict ce qu’aurés faict pour 1 mien et bien du ser- vice de _ _; Vostre affectionne maistre ct amy.

HENRY.

159lt. — i" Juirtizr. - _ Orig. -- B. R. Fonds Béthune, Ms. 9115, fol. 5li. l Cop. — B. R. Suppl. Tr. Ms. 1009-3. A MON COUSIN LE DUC DE NIVEBNOISL _ couvnmvnun sr non txnulcrnmnr cuivnmr EN cmmvsicsa. _ Mon Cousin, Pour donner tousjours plus de loisir et de commodité dîachever de conclure ce qui se traitte avec mon cousin le duc .-de I Guise ’, et que la fin de trefve qui expire le dixiesme de ce mois n’y apporte point d’empeschement, _j’ay trouvé hon que la dicte trefve lust I prolongée jusques à la fin du present mois ; ce que je vous prie de donner ordre de faire publier de honne heure en la ‘ province, ailin qu’il n’y ayt point de _faulte en l’execution de ceste ordonnance : et n’estant la presente à aultre eflect, je prie Dieu, mon Cousin, vous avoir en sa saincte et digne garde. De Nantheuil, ce premier jour de i juillet 159lt. ` ‘ ’ HENRY. roncsr. 159lL. —— 8 JUn.1.E r. i U Cop. — B. R. Suppl. fr. Ms. 1000=l. Imprimé. — (Economics royales, édit. orig. t. I, p. 268. ' I [AU DUC DE BOUILLON.] Q Q Mon Cousin, Jlapprouve vos excuses et vos suhmissions. Je plains vostre perte qui est tres grande, ayant trouvé et puis perdu une femme _ fort vertueuse, de douce humeur, riche et de bonne maison, qui sont ‘ Ce prince` venait de tuer Saint Pol, maréchal de la Ligue, très puissant à Reims : et il traitait avec le Roi pour son accommodement et pour la soumissionde cettavillc. ` 2l ;.