)$Ã~DE HENÃB1‘:'I)/Di i 265 tres utile et agreable, puisque’vou\s~m'assetp ;és d’y apporterïlaa volonte ‘ _ que doibt avoir un fidele- su.b_ject ;'et serviteurlià Yhqnnenr, service et ' contentement de son Roy, sçaura‘ bie, n recognoistre aussy le bon debvoir que vous y ferés, pour agen revancher quand Yoccasion s’en i presentera. Or _j’espere me rendre bien tost en ma ville de Lyon, dou i je ne Nferay faulte de depescher devers ;j§a—Saincteté et _m’, acquitter en- core envers Elle de mon debvoir,»le_plus dignement qulil me sera pos- sible, comme je l’ay promis à mon. cousin leqcardinal de Gondy, qui en a, asseuré Sa Saincteté. Cependant vous diray avoirreceu en ma bonne grace mon cousin le duc de Guise ; lequel eme doibt venir trou- ver au premier jour ; et envoye des depputez à; la Royne, madame ma i seur, quilest à An_nys, pour traicter avec le duc de Mercueur ; son I frere, quiî m’en a faict prier paiyelle, comme celuy qui n’à oncques refusé amitié et faveur àtons cceulx qui ; l’ont demandée et recher- chée comme ils ont deu faire, ou se sont contentez de laraison. Je prie Dieu, mon Cousin, vousyavoir en sa saincte garde ; Escript à Fon- toise, le Xxvuf jour denovembre 15gli. —, _ ` J,, ./ ny HENRY. V t i, I, îinmfriveugymiig. . [159lL. - - - 28 Novnnnnn.] J . y il i _i y Minute.--Fonds Saint-Germain Harley, Ms. lld'7. i y V il [A `M. DE BELLlEVBE.]` Mons" de «Bellievre, `Je vous envoie le double dame lettre que les- ' cris presentement à mon cousin le cardinal de Joyeuse, pour PSS- ponse à une qu’il m’a envoyée par .cè porteur, par laquelle ayant appris qu'il’avoit quelque volonté de s’approcher du duc de Joyeuse ; son frere, j’ay estimé, le debvoir prier instamment, comme vous verrés par la dicte lettre que je fais, de ne s'esloigner encores de Rome, 'mesmes d’y retourner, s’il en estoit party, pour me servir auprésde W nostre Sainct Pere aux occasions qui se presentent ; car, en verité, - Sa demeure et presence là me sera plus titiileçque de deçà, où j’€SP`€1;€
