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LETTRES MISSIVES

l _ le face parler clairement, allin que la justice en soit faicte, telle qu’il la meritera. .l’espere vous voir bien tost et vous dire le demeurant : cela estant, je prie Dieu qu’il vous ayt, Mons' de la Force, en sa saincte et digne garde. Escript à Lyon, le xxf jour de septembre. -

HENRY.

i DE NEUFVILLE. . ` l595. — 23 SEPTEMBRE.- I". A I (lrig. — Archives municipales de Bourges. Copie transmise par M. le Préfet. M. DE LA CHASTRE. ] Mons' de la Chastre, Je vous envoie les articles d’une trefve gene- cevoir ce que ces procédés du grec et du suburbiis, amœno sitam loco et structurée latin 0ntd’absolumentinapplicable au fran- elegantia pulcherrimam ; in eo secessu liber gais. Nicolas Rigault, danslepremier livre et quietus, reliquam fere œtatem exegit, de la suite à l'Histoire universelle de de non obscuro _tamen Lutetiœ desiderio . Thou, juge fort bien cette tentative et le dum subiret illius temporismemoria cum talent poétique de Rapin z « Cujus ingé- in luce tantœ urbis tot virorum illustriuni nium viris elegantioribus acleo placuit, ut favore et benevolentia iloreret, hominum- vix alium essc clicerent, qui tam festive que doctrina prœstantium quotidiano usu poetarum veterum facetias schemate gal- et gratissima consuetudine frueretur. » Ce Iicoreprœsentaret ; omniumvero quihacte- désir de revoir ses amis littéraires lui lit nus Gallia': pronunciationis contumaciam, entreprendre, au bout de dix ans, le voyage metricas accentuum atque temporum leges de Paris, par un hiver très-rude. La clilli- _ pati coegerant, si quid in hoc scribendi culte des communications à cette époque genere laudabile tentari posset, prœstan- lui causa une fatigue qui l’obligea de s’ar- tissimum, » Ce passage, que n’a pas com- rêter à Poitiers, ou il tomba malade et mou- pris le traducteur, a été cité plus cl’une fois, rut le 1"février 1608, dans sa soixante-neu d'après son contresens, comme une preuve vième année. Scévole de Sainte—Marthe, son du mépris clel'historien pourinotrelangue, ami et l’un de ses exécuteurs testamen- et ar une double erreur on a cru ue cet taires, lui a consacré un clia Jitre détaillé P (I l historien était de Thon. au livre V du précieux ouvrage intitulé : Lorsque le traité de Vervins eut enfin Gallorum doctrirza illustrium qui nostra pa- rendu la aix à la France, Ra in se démit imm ue memoria oruerunt elo ia. Paris, P P ‘l 9, de ses pénibles fonctions, pour passer dou- 1616, in-8°, p. 270 et suiv.) Les œuvres de cement le reste de ses jours dans une re- Rapin, publiées séparément dans plusieurs traite dont Sainte—Marthe parle en ces ter- recueils, ont été rassemblées en corps et mes : «/Ediiicaverat villam in Fontenaii imprimées à Paris en 1610, in-li".