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LETTRES MISSIVES

E _ me seroit d’importance estant veue par d’aultres ‘. .l’ay encor en l’esprit . — ~ deux ou trois aultres allaires de consequence ou je vous veulx em- ployer &IlS$y tost (IUC VOUS S€I'éS &I'I’lVéS§ IH8.lS’DO P€I.l’léS de lÃOU.l] CCC)' à (IUC. CO soit, DOD PRS ITICSITIB il vostre ÈFCITÈIDB. A Dl€U, HIOD amy, _. que j’aime bien. D'Amiens, ce xv° avril 1596. _ il HENRY. . N l 1596. — 15i Avmn. — II'“°. ~ Orig. — Arch. de la préfecture de la’Seine-Inférieure. Copie transmise par M. Barabé, archiviste. A A NOS AMEZ ET FEAULX LES DOYEN, CHANOINES ET CHAPITRE u ‘ i DE L'EGLISE NOSTREÀDAME DE ROUEN., _ . Chers et bien amez, Nous avons esté advertys qu’un nommé Val- _ . semer est à prier pour obtenir ceste grace que de lever la liertel S‘— l - " Rosny brûla cette lettre en présence de Mornay nous a laissées sur les Olïcono- _ de ses secrétaires, à qui il dit ; « Voyés si le niies royales. Nous avons_eu plus d’une fois _ il Roy doit estre estimé paresseux et peu occasionde signaler quelques-unes des soigneux de ses allaires, puisqu'il m'escrit inexactitudes "dont elles fourmillent. Il de si grandes lettres de sa main, lesquelles, semble y en avoir un peu plus ici. La — uoi ue tres_ excellentes, °e suis neant— fin dê la lettre semble bien.de Henri IV ; ‘l (I J _ ' moins obligé de brûler. u Plus tard il leur mais dans la première moitiéyun style ré- remit, pour la transcription de ses mé- dondant si diilérént de celui de Henri IV, moires, cette copie que les (Economies y et si ressemblant a' celui `de Sully, nous _ ro_yales nous ont conservée ; «Vous en porte à croire que ce dernier la refit lui- . baillastes une à l'un de nous quatre, telle même en partie de mémoire, trèslong- . que _nous_l’avons, mise cy-dessus, lorsque temps après l’avoir brûlée. et'qu’il donna vous fustes fait grancl—mai’stre de l’artille sa réminiscence pour une copiei Cette ob- rie, croyant bien, à mon advis, 'que le servation pourrait s’appliquer, avec moins _ Roy, en ce temps-là, ne se soucieroit pas d`évidence, à quelques-unes des autres . que l’on sceust ce qu'il vousavoit escript, lettres provenant de la même source. q puisque les effets en estoient tous publics. » Quant aux copies du Ms.- 1000--1, que 'Il nous paraît dillicile de ne pas ac- nous indiquons toujours pour constater cueillir ici les doutes de Marbaut sur l'en- le travail qu’avait fait l’abbé de l’Ecluse, E _tière véracité _de Sully, tout en reconnais- comme elles sont prises sur l`édition même n `sant Yanimosité dont sont partout em-` des Olïconomics r0_yales, elles netournissent preintes les remarques que ce secrétaire aucun argument d'authenticité. ` ` 1 C’est à-dire la châsse. I " - V . j ‘ `. I `