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de mon conseil il ya long-temps, et tenés la main que leurs cahiers soyent respondus le plus favorablement que vous le pourrés, tant pour les recompenser aucunement du temps qu’ils ont perdu en leur oursuicte, ue our donner lus de mo en au dict s' de Hoc elaure P (l P P Y . au d’estre mieux venu, receu et obey pour mon service au d1ct pays, comme je desire qu’il soit : et je prieray Dieu, mon Cousin, qu’il vous ayt en sa tres saincte et digne garde. Escript à Mondidier, ce ` .XlXcjOl1I` de mars 1597., . p . HENRY. i C ms zçnurvxrrç. — ~ A [l597.]`— 20 MARS. ’ Origiautogràphe. - B. N. Fonds Béthune, Ms. 9067, fol. :1. I A MON COMPEBE LE CONNESTABLE DE FRANCE. O ` Mon compere, Oultre la lettre generale que je fais à ceulx de mon conseil pour expedjer la certification de soixante mil escuz que j’ay ordonnez pour le voyage du cappitaine la Villodoré, je vous en ay bien voulu particulierement faire ce mot pour vous prier de tenir la main et commander la dicte certification estre promptement expediée, à ce que’le dict la Villodoré puisse partir comme je le luy ay com- mandé. Jlestime autant de ce voyage ique de nul autre. Ceste-cy rfest à autre fin ; car par M. d_e Boquelaure, part ce matin, vous sçatués, de mes nouvelles. A Dieu, mon compere. Ce xx"‘° mars, à Mont- didier. ` . HENRY.
