DE HENRIÈ IV. . ° 755 faire l’advance des premiers mois, soit par emprunt volontaire ou aul- trement, à quoy vous pourvoires promptement, selon que l’approche ment de nos ennemys presse et nous en rend necessaire le secours : voulans que vous : saichiés. que,. si vous y employés vos biens, nous n’espargnerons nostre personne, ny choseyaulcune qui soit de nostre puissance, pour garantir le public du peril qui le menace, et corriger _ les abusqui sont cause de'vos misereset plainctesgqui sont-lesmostres. _ Donne a Sainot+Germain, en Laye§.le :xxv11_]° jour—d’apvril,= llan 1597. A HENRY. _ ., 1>o_r11an. I 1597,- 28 avan., — II'“°. ' Orig. autographe. — B. N. Fonds Béthune, Ms. .919l, fol. 31. 'A Cop. — B. N. Fonds Fontanieu, Ms. P.73, fol. 60, verso ; et Suppl. fr. Ms. 1009-2. ' [AU CONNÉTABLE.] Mon Cousin, Je vous envoye le s' de Fouquerolles, que j’avois'de~ pesche en Angleterre., pour vous rendre compte de son voyage, vous priant, aprés l’avoir oy, me mander vostre advis sur ce qu’il vous aura represente. L’ambassadeur d’Anglete1ire doibt venir icy demain pour me faire entendre l’intention de la Royne, dont je vous feray part 1n- continent-, et seray bien- aise que leadict s' de Fouquerolles s’y trouve. I Partant, renvoyés le-moy, après l’avoir oy. Jeïprie Dieu, mon‘Cous1n, qu’il vous ayt en sa saincte De S‘—Germain en Laye, l€«XXVl1`]° dlavril 1597. . ` HENRY., . . . i nn. NBUF\'lLI.E.i . ` ~g5.
