DE l lENlll.l’V. SO] accompagnéplès dictes tranchées, ou j’ay faict travailler nos soldats à la toise, qui ont faiot merveilles. Cecy achevé, il nous fault com- mencer a mettre la main aux tranchées pour nous conduire à la ville. Ce SCI`8. POUI ID€I‘CI`€Cly (IUE IIOUS le f€I’OI]S, SHDS €SP3TgD€ Z de SOI`È€ (IUE DOUS &UI’OI]S dOI`€S1'1àV&Il’l `ÈOUÉ bCSOlI1g de VOSl.I’B l)OI`1 advis POUT V COIldUlI‘8 UD l§Cl OUVI`&g€. C'est POUl’qUOy ji? VOUS PI‘l€, IHOI'1 COUSU1, V DOUS y VBDl1` VOlI‘ le plus tost (IUC VOUS POUITOS. Vostre logis 6Sli prest et toute l’armée vous y souhaite. Breauté 1 est sorty de prison pour son quartier, qui dict qu’ils sont estonnez dedans la ville et mal unys. Touteslois il me semble que ils ne sont que trop d’accord quand il est question de nous mal faire. Venés, mon Cousin, etvous en jugerés mieulx sur le lieu que je ne puis vous le représenter par lettres ; priant Dieu, mon Cousin, qu’i l vous tienne en sa saincte et digne garde. Escript au camp devant Amiens, le v_]° jour de juillet 159 7.- HENRY. I nm ivaurvirrs. 'Moréri, qui a consacré un article à son père Àdrien, sire de Bréauté, qui généalogique très-développé à l’ancienne ne mourut qu’en juin 1605. Celui-ci avait et illustre maison de Bréauté, éteinte en pour père un autre Adrien, sire de Bréauté, 1716, donne beaucoup de détails sur et pour mère Jeanne dela Haye ; il était Pierre de Bréauté, mort en- Hollande dans châtelain de Neville, baron de Boulley, un combat particulier de vingt-cinq contre vicomte de Hotot, seigneur du Port de vingt-cinq ; mais il ne dit pas que ce jeune Navarre, de Colleville ; d’Héroudeville, du seigneur ait eu le régiment de Norman- Héribel, de la Mandraguières, etc., con- die, comme l'avance La Cliesnaie des seiller du Boî, chevalier de son ordre, Bois dans une généalogie, du reste, moins gentilhomme ordinaire de sa chambre, complète. La correspondance de Henri IV, capitaine de 'cinquante hommes d'armes comme on le verra ciaprès, fait mention de _ses ordonnances, bailli de Gisors, gon- du régiment de Bréauté dès cette année verneur de plusieurs autres places impor- 1597; mais Pierre de Bréauté,'mort en tantes ; colonel général du ban et de 1600, à dix—neuf ans, n'en avait alors l'arriè1 e-ban de Normandie et lieutenant . que seize. Il semblerait plus probable que général au gouvernement de ce duché. ` le ré `ment de Normandie eût a artenu 8* PP 1.¤ r rm-ss ne nenni iv.-1v. 101 `
