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ver, })Ol11‘ vous en rendre compte, m’en resjouir avec vous, et vous prier de continuer a favoriser ce bon œuvre `devos vœux et bons con- seils, alhn qu’il soit conduict a sa perfection le plus tost que faire se pourra ; car’il sera honorable et utile à tous. Ce sera aussy un tesmoig ` gnage de vostre prudence et bon `naturel, digne d’estre adjousté aux aultres, lequel me sera, tres agreable, ainsy que_vous dira le dict A s' Carlo Rossi, auquel je remets le demeurant (comme de vous parler d l il 7 t l q 1] t "p q l d e 'a aire same,. e ne "aime, e vous rie croire ce ui vous ira . de la part de i . ` A ._ Vostre neveu et bien bon oncle, _ — HENRY. Ce xv° janvier, à Paris. _ ` ~ 1599. — 18 JANv1En.—I'*’. . — . Orig. -- Collection aè M. le docteur Joseph Oonnelli. Copie transmise . " par M. le ministre dé France à Florence. I ‘ À MON COUSIN LE S? LEOl}l’STBOZZI.' _ ' Mon Cousin, Le duc de Figney ni’a faict -rapport,' à son retour, de vostre allection au bien de mon service et a la prosperité de ceste Couronne ; de quoy je vous ay bien voulu `remercier par ceste lettre, qui vous sera rendue par le s” de Sillery, conseiller en mon conseil / d’Estat et president en ma court de parlement de Paris, que _]’envoye resider mon ambassadeur par delà, auquel j’ay commandé de vous faire entendre la continuation de la bonne volonté que je vous porte, et le desir queqjl ay de la vous temoisgner par ellect. Vous l’en croirés doncques comme moy-meme : et m’en remettant sur luy, je prieray i lille de Henri ll. Ellese trouvait ainsi niece Medicis, souche commune des dililerentes de la reine Marguerite, femme deHenriIV. branches de leur maison. Il avait donc un D’un autre côté, le rand duc de Toscane, de ré sur la reine Mar uerite, comme a E p 8 S quoique cousin assez éloigné de Catherine v l'oncle sur le neveu. Cïest pour cela, sans de Médicis, descendait, comme cette reine, doute, que Henri IV appelle la grande du- à la douzième génération, de Philippe de chesse sa tante et sa nièce.
