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DE HENRI IV.

I .' Q 1600.-+-2(SMM. A V . A i i- 'imprimé. — OEcon0mic.s ro_yales,.édit. orig. t.I, chap. 98Ã il i I, [A M.' BOSNY.] ` 1 Mon amy, J’av veula lettre que m' le chancelier et vous nfavés escripte. Je trouve '_qu’une sepmainede temps ne sera mal employée a . pourveoir atout ce que vous me mandes, et quatre ou cinq jours de _ retardement a mon partement ne prejudicieront tantà mes aliaires ‘ que dene donner ordre à cela. Je seray, Dieu aidant`, demain à Paris, _ et j’iray disner Chez Zamet, où je vous convie ; mais advertisses-le des ce soir, et la je parleray à vous et adviserons ensemble de toutes ` choses. Mon advis estique demaindu matin il soit tenu unconseil par- ' - ticulier pour le fait du retard des rentes,. ou Je ne vous puis donner_ aulcun advis, seulement approuver les resolutions que-vous prendrés pour mon service, ma confiant entierement en vostre bon 'mesnage ; et si dans la semaine ou nous allons entrer on a bien pourveu `à tout ce que vousme mandés, cene sera pas peu faict. A Dieu, mon-amy. ' Ce samedy à midy, xxvf may. A Verneuil. ‘ ' - . . HENRY. . ., A 1600.—MAI., N i Orig. Fonds de M. Lef`èvre, libraire à Paris. Communication de M. Monmerque. i `, A Moivsr MAa1o1v,; j . i CONSEHLLEB EN _MON CONSEIL b’ESTAT NT MON AVOCA :I` GENÉRAL MA COURT DE PARL£)lEN'l` ' Innrwis., ‘ Mons" Marion, J’ay besoing de recouvrer promptement lespieces et tiltres, ui sont demeurez ar"devers vous, de la ne ociation ou . .P . p . . vous feustes employé du temps du feu., Boy, pour les limites dela frontiere de Picardie dont "estois en diflerend avec le Feu ro d’Es- _ J, . . Y . ' " Cette lettre etait de la main du Roi. i i i i - \ .