` " "` '\ 238 —, LE'1TBES MISSIVES _ pagne. Par. tant vous~ne fauldrés à lesremettre incontinent es` mains du s" de la Guesle, mon procureur general, avec le proces verbal de . Pexecution de la commission qui vous fut adressée ; et n’estant la pre- sente pour autre ell’ect, _je ne vous la feray plus expresse : priant Dieu, . ‘. - &, . . . Mons' Marion, qu°1l vous ayt en sa tres samcte et digne garde. Escript i à ....._ . le...‘jour.demay1,6oo._ ., ‘_ ‘ ~ . . HENRY. _ i` ‘ na msurvurs. ~ ‘ _i [1ôO0.]—3 JUIN. A i I . ‘ — - Imprimé. -- (Economies royale.s, _édit. orig.-t. I, chap. 98. . [A M. DE BOSNY.] . _ -' 1 Mon am, Je vous fais ce mot our vous dire ue ma- volonté est Y P CI p . que vousescriviés à- ceulx de ma court des Aides à Piouen qu'1ls ayent à surseoir la verification de l’edict pour les esleus jusques à ce que jlen ay aultrement ordonné, alHn queiceluy laict en faveur de_ mon cousin A le_ duc de Mayenne et veriiié depuis peu puisse avoir lieu, _comme p chose que je desire,. Sur ce, Dieu vous ayt en sa garde. Ce nf juin. ` ' _l600f— lr wm. q ‘ Orig. — Archives des Médicis, légàtion française, liasse 3. Copie transmise par le ministre _ _ — t de France_à Florence. _ . '_ . . A MON COUSIN LE GRAND DUC DE TOSCÀNE. — 'Mon Cousin, Le s' Sci ion Va’ari, entilhommesiennois, a ant assé . . P J g . — . Y P . plusieurs années en ce_Boyaume, mesmes pendant les dernieres guerres _ qui y ont esté, et désirant. maintenantique la paix y est esta.blye,'s'en' ' La lace du uantième’et du nom du lieu est ainsiirestée en blanc sur l`0ri inal. - P ‘l_ - S - ‘ Cette lettre était de la maiirdu Roi.,
