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Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome5.djvu/399

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LETTRES MISSIVES


vous prie, jusqu’à perfection de ce dont vous avés charge. Asseurés- vous de plus en plus de la bonne volonté de . i Vostre tres aiïectîonné maistre et amy, ° HENRY. [1601.] — 3 FÉVRIER. _ Orig. autographe. - B. N. Fonds Béthune, Ms. 9080, fol. 3._ U —A MON COMPEBE LE CONNESTABLE DE FRANCE. Mon compere, Vous entendrés de mes nouvelles par celle que je rescris à m' de Villeroy. Je suis toujours attendant des vostres et que vous ayés receu la ratillication de mons’ de Savoye. Vous ne sçauriés crere comme .icy il faict beau et froid, et comme, Dieu mercy, je m'y trouve bien. Je vais demain matin en poste à Nemours, y trouver ma femme, qui y est arrivée, et la mener à Fontainebleau, où il fict merveilleusement beau. A Dieu, mon compere. Ce nf febvrier, à . A Paris. ‘ - - HENRY. i [1601.] ~ — 7 FÉVRIER. l Imprimé. — Olîconomics royales, édit. orig. t. II, chap. 8. ' I [A M. DE BOSNY.] I Mon amy, Pour ce coup vous serés exempt de nous donner à souper à nostre arrivée à Paris-, où je seray demain au soir, ` Dieu ai- dant,' et j’y veux parler à vous. C’est pourquoy, à mon arrivée, je vous manderay ou je seray, pour me venir trouver. Ma femme y arrivera le lendemain, qui ira descendre chez Gondy, ou nous coucherons ce soir là; et le lendemain, aprés y avoir disné, et veu la foire, nous R Cette lettre était de la main du Boi. '