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LETTRES MISSIVES


viste et me rend foible. C’est ce que _i’ay à vous dire pour ceste heure. A Dieu, ` mon amy. Ce xx° mars à midy, à S‘-Germain en Laye. i HENRY. J l60l.—26 Mans. ` i Cop. — B. N. Fonds Béthune, Ms. 8957, fol. 1-5 recto. ` t [AU PAPE.] Tres Sainct Pere, Ayant pour but principal en ce monde, aprés la gloire de Dieu, de rendre à Vostre Saincteté toutes nos actions agrea- bles, nous ne luy sçaurions assez exprimer par ceste lettre combien nous a console le contentement que par son bref apostolique du 1111* de ce mois Vostre dicte Saincteté nous a tesmoigné avoir receu du bannissement que nous avons ordonne de l’exercice de l’heresie à Chasteaudauphinl ; à quoy nous n’avons moins esté porté de nostre ' propre inclination à Yaccroissement de nostre saincte foy, que du desir que nous avons eu de complaire à Vostre dicte Saincteté, laquelle nous _ supplions de croire que nous ne serons jamais plus contens que quand i il se presentera occasion de tesmoigner à Votre Saincteté les eliects de nostre singuliere observance à l’endroit d’icelle et du Sainct Siege Apostolique, ainsy que le s' de Bethune, nostre ambassadeur pres Vostre dicte Sainctete, luy fera plus amplement entendre : priant Dieu`, ‘ Tres Sainct Pere, qulicelle Vostre Saincteté il veuille maintenir, garder et preserver longuement et heureusement au bon regime et adminis- tration de nostre mere saincte Eglise. Escript à Paris, le xxvf jour de ` mars 1601. . ' Vostre dévotfils,

HENRY.
  • Il est dit, dans l’arLicle 5 du traité de Dauphin. » Cette place ne retourna à la

'Lyon : •Aussi est convenu que le dict Savoie que plus d’un siècle après, par le sieur Duc rendra et reslituera ellectuelle- traité d’Utrecl1t. Elle redevint encore fran- ment ct de bonne foy, au dict sieur Roy. ... gaise de 1 ygz à l8l[I. le lieu, ville et chastellenie de Chasteam