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DE HENRI IV.

. ' " — L ' 1602. — 13 Mans. --TI"°. . ’— i Orig. — Arch. des Médicis, légation française, liasse 3._Envoi de M. le ministre ag France, ` — ‘ .—'àF1orence.- .. 1, i i A MON DNCLE LE GRAND DUC DE TOSCANE. Q ' Mon oncle, La recommandation que vous m’av'es faicte par. vostre lettre du lllmc de janvier en faveur demon cousin le duczde Modene, a resté receue de moy comme le merite Paffection que- je 'vous _porte et—la justice d’icelle ; ce que jlauray à plaisir de, _vous tesmoignerf et à luy aussyj auxhoccasions qui se presenteront, ainsy que j’ay dict au comte Niccolo Cesi, qu’il _a envoyé vers moy : priant Dieu, mon oncle, qu’il vous conserve en sa saincte garde. Dellontainebleau, le xi1j° jour de mars 1602. . U _ » V ne uaurviinn. . I . A l6()2.5 13 Mans. —II‘“°. ' Orig. — Arcli. municip. de Bordeaux. Copieuansniise par M. lesecrétaire général de là ville. I A NOS TRES CHERS ET BIEN AMEZ LES .MAIRE ETT JURATS DE NOSTRE , ., VILLE BOURDEAUX. . ._ _ Tres chers et bien amez', Ce_n’a —peu estre qu’avec deplaisir que nous avons entendu le trouble qui est advenu par dela sur quelque proce- dure de_ nostre cousin le cardinal de Sourdis ; et parce que cela nous - est icy rapporté diversement, nous avons resolu deprendre un peu de loisir pour examiner davantage cest affaire, pour aprés en ordonner ce qui sera de la justice, laquelle nous voulonsindifferemment rendre à tous nos subjects. Nous faisons entendre à nostre court de parle- ment l'ordre que nous voulons `estre ce pendant tenu sur cestalfaire. A uo vous vous conformerés de vostre art, vous en’oi nant au r.este ll Y _, P J S de maintenir la paix etla bonneunion entre tous les hab1tans de nostre ville de Bourdeaulxautant qu’il vous -_s.era possible, faisant LETTRES DE HENRI IY • ;*V jo