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DE HENRI IV.

me’do’nnerés' advis de la reception de la presente, et de l'ordre que vous aurés donnésur le contenu d’icelle, laquelle n’estant pourautre effet, je prie Dieu, Monsr de Breves, qu’il vous ayt en sa saincte ` garde. Escript à Blois, le vf jour de may 1602. _ . HENRY. . . . [1602.]- 10 MM. ‘ Orig. autographe. -- B. N. Fonds Béthune, Ms. 9084, fol. 9 recto. A MON CCMPERE LE CONNESTABLE DE iFRANCE. U Mon com ere, Il n’ a ic aulcunes nouvelles, sinon ueh er `e P Y Y ( ll Y J courus un cerf, qui dura deux heures avec tous les plaisirs du monde, et- que je pars presentement pour mien aller coucher à Amhoise et demain à Tours ; ou je ne sejourneray que fort peu, p_our me depes- I cher de mon voyage de Poictiers, aflin de retourner au plus tost que je pourray pour voir_mes hastimens. Bon jour, mon compere. As- seurés—vous que je vous aime bien. Ce x° may, a Blois. . ` . . I `E HENRY. . 1602.-- rr MM.--l’°. Z R . Imprimé. — Mémoires de Nevers, t. Il, p. S5:. _' i [AU MA[iÉ(lI—IAL DE BIRON. ri I U Mon Cousin, D’Escures m'a fai ct entendre tres particulierement les advis que vous me donnés,. tant pour les lieux, ou je puis faire arres- ter les Suisses- et autres gens de guerre, desquels je voudrois me ser- vir, comme aussy sur ce qui est pour la seureté des villes de la fron- tiere, principalement pour celles qui sont envostre gouvernement. Je loue beaucoup les advis que vous'm’aves donnez ; ils sont con- formes à ce qui est de mon intention ; car je veux establir ces formes- ' la aux lieux où il sera requis pour le bien de mon service, et selon les occasions qui se presenteront. Pour leregard des villes de vostre A 7li . .