e 'e n’a e faire d’aller en Bour 0 ne. Le dict baron m’a dict
au J Y (IU g S _
comme le president Jeanin a veu le baron de Lux, avant qu’1ls’en allast
'en la Francl1e-Comté, ou il est retiré ; qui luy a juré tousles sermens
dumonde qu’il ne sçavoit rien de tout ce que le duc de Biron vouloit
taire. Advisés quel serment et comment se fier en sa foy. A Dieu,
Mons" le chancellier. Ce 1_]° juillet, à Fontainebleau, à trois heures
' aprés midy. . —
HENRY. .
I [1602.] — 2 JUILLET. - II“‘°. —
Orig. autographe. — Biblioth. impér. de Saint-Pétersbourg-, Ms. 886, lettre 87. Copie transmise
par M. Houatl
. A MONS" [DE BELLIEVRE, ‘
- cuinçnttinn mn rames., _
Mons' le chancellier, C’est pour vous dire quesuivant le commen- _
dement que je vous ay faict de sceller la jussion qui vous a esté pre-
sentée pour la veriilication de mon edict des quatre mestiers en chas-
‘ cune ville de mon Royaume où il `y a maistrise, chose qui a, de toute
ancienneté, accoustumé d’estre en faveur de la naissance des dauphins
de France, vous n’y faciès plus aucune difficulté ; car je ne veux pas
ue le mien soit lus mal traicté ue n’ont esté ceulx iont esté avant
(I P T1 .
luy ; et ce sans la l’a1re rapporteren mon conseil. Sur ce, Dieu vous
ayt, lVIons' le chancellier, en sa saincte et digne garde. Ce 1]°juillet, à
Fontainebleau.
[1602.]- 7 winter. _ ` Imprimé. — Mémoires de Duplessis-Mornay, v162li, in-lt°, t. III, p. 2g. [A M. DU PLESSIS.] i 1 Mons' du Plessis, Vous m’avés faict plaisirdenvoyer apprendre de ' mes nouvelles, sur ce s’est passé icy. Les meilleures que je vous ‘ Cette lettre était _de la main du Roi. 79.