grande., Maintenant que le_ chef a esté pris, elle n’est tant a craindre.
Suivant ce que je vous ay cy—devant escript, de me venir trouver au
commencement de vostre quartier, n’y faictes faulte ; car vousaimant
comme je fais, je seray tres aise de vous avoir auprés de moy. vous
avésnouvelles que les voisins remuent., donnés-m’en advis ; mais mon —
` opinion, n’est pas qu'ils» le puissent,- Ayés soin à ce qui est de vostre
•\\ charge poui mon service, et tascbes dapprendrelce qui m importe,
` ‘ pour me l’escr1re en attendant que vous vemesaupres de moy, où vous
serés le bien venu et content de moy. A Dieu, lVIons'_de la Force,
le nel 'e .`rie vous avoir en sa saincte‘ arde. Ce XXVII? d’aoust, à
(I J P, È J
Monceaux. - — È ' Ã
` ' . ‘ . . HENRY ; '
, 1 .,. l6O2.—' 2g Aoûr. i
_ i . Origi. aufographe.i—f B. N. F ondsBéthune, Ms. ol fol. nil :. l U
' Cop. — Suppl.`i’r. Msi 1099.-4., J l qi i '
', i . A A- MADAME DÈ MONTGLAT. ., V
. ' T `
Madame de Monglat, vous me faictes plaisir de memander sou- ‘
vent des nouvelles de mon fils et d’en avoir bien du soin. J’ay trouvé
fort bon que vous Yavésmené au chasteau neuf, comme pour tout ce que
vous ferés pour luy, qui m’en repose sur vous, asseuré que vous ne `ferés
rien que bien à propos- Bonjour, madame de, Montglat, continues 'à
m’esc1 ire souvent de ses nouvelles. Ce xxixîaoust, à Monceaux. `
i` ‘ ‘ ' HENRY. ',
', F l602.—31 sour. — _
' Imprimé.'- (Economies royales`, t. II, chap. 12; i
I . . [A M. DE ROSNY.] ai i
' Mon Cousin, J’ay veu Pextrait des assignations que nous avons af-
fectées au payemgit des garnisons 'et fortifications de Barault, Pro-
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DE HENRI IV.
