escuz pour les Voyages qu'il faut faire faire. Vous `dirés au s' de S‘ Ger-
- main, depputé de la Religion, qu’il me vienne trouver, _comme aussy
à Bretaville, gouverneur de Pontz. J e viens tout presentement avoir des nouvelles_de Cheret, commande à Figeac, comme m' de Bouillon yiavoit passé le XIXB du passé et qu’il s'en alloit à Castres. Bon soir, mon amy. Ce jeudy, à deux heures aprés midy, v° de- cembre, à Fontainebleau. . ‘ - HENRY. B [IGC?.]-5 DÉCEMBRE. 4- II"". Orig. autographe. Archives des Médicis,.légafiqn française, liasse 3. Copie transmise par M. le ministre de France à Florence. là A MON ONCLE LE GRAND DUC DE TOSCANE. A Mon oncle, Si un autre _que le s' Carlo Rossy estoit‘ porteur de lamienne, elle seroit plus longue, car ce seroit faire tort à sa sum- saince, ayant esté assés long temps prés de moy pour vous pouvoir dire de mes nouvelles, et en oultre comme ma femme, Dieu meroy, est heureusement accouchée d’une belle lille, de sorte que mainte- nant j’ay mariage. Il suflira donc que je vous prie de le croire, et que l’occasion de vous tesmoigner comme je vous aime ne s’olÉ}`rira jamais que je ne l’embrasse de tout mon cœur, ainsy que plus particuliere- ment vous entendrés par le dict Carlo Rossy, auquel vous adjouste- rés foy comme moy-mesme, qui prie Dieu vous avoir, mon oncle, _ en sa saincte et digne garde. Ce v° decembre, à Fontainebleau. ` ‘ _HENRY. ' _ [1602.]- 6 DÉGEMBBE. B i g Imprimé. — Me'moir¢.s de du Plessis-Mornqy, in-l ;°, t. III ; p. 31; . _ `, . A MONS“ DU PLESSIS. E ‘Mons’ du Plessis, Vous sçaurés par du Maurier, que je vous de ` pesche expres, l’occasion de son voyage vers vous, et que le pire con- " ' Cette lettre était de la main du Roi. U
