fort à commodité, et pour ceste occasion festime que je demeureray
jusqu’au xvf du prochain, pour aprés aller passer le reste de l’esté et
l’automne à Fontainebleau. Nous n’avons rien ic de nouveau de-
Y
puis mes dernieres. Les deux sieges de Flandres se continuent tous-
jours Fort lentement de part et d’autre. Toutesfois chacun prend son
terme au xvf du mois prochain ; qui est tout ce que fay à vousidire
pour ceste fois : priant Dieu, mon Cousin, vous avoir en sa saincte et
digne garde. Escript à Monceaux, ce xx° juillet 16oA.
` roncnr. [1604.]- 2l ; JUILLET. Imprimé.—œconomies royales, édit. orig. t. II, chap. 63. [A M. DE HOSNY.] — Mon amy, Pour response à la vostre du vingt-deuxiesmc, que j’ay receue ce matin, je vous diray que je trouve hon la commission que vous avés envoyée à Lomenie pour Nicolay et Bois, pour aller visiter _ les costes de mes provinces de Normandie, Bretagne et Poitou ; luy ay commandé de Yexpedier, et la vous renvoyer, suivant laquelle et la vostre il sera fort à propos que vous leur baillés une ample instruction ’ de ce u’ils auront à faire our mon service, et ue vous les faciés q P (l artir au lus tost. A Dieu, mon am . Ce xx111° `uillet, à Monceaux. P P Y J J HENRY. ' i [160h.] — 25 JUILLET. Orig. autographe. - — B. N. Fonds Béthune, Ms. 9077, fol. 1. Cop. — Suppl. fr. Ms. :009-2. A MON COMPEBE LE CONNESTABLE DE FRANCE. L Mon Compere, J’ay au_iourd’huy achevé de prendre les eaux de Pougues, de quoy je me trouve merveilleusement bien, Dieu mercy.
