DE HENRI IV. 293 le dict s' de Liancourt, duquel j’attends tout contentement, comme je m’asseure que recevrés en vostre particulier. N'estant la presente a aultre effet, je prie Dieu, mon Cousin, qu’il vous ayt en sa saincte arde. De Fontainebleau, le xi ° `our de se tembre 16oA. - È p J J P . D É . HENRY. ` I ' roman. [l6()£1.`] ~— 1 2 sarr EMME. — II"“°. imprimé. —œcon0mies royales, edit. orig. t. II, chap. 3s. i J J ' .. . .[`À'M. DE ROSNY.] _ Mon amy, Celuy qui vous »rendra’ ceste-cy"de'ma ;.par't, i nommé Latsague, est de ma compagnie de chevaux legers et des plus anciens d’icelle, et tel que si la charge de mareschal des logis venoit à vac- qzuer je la luydonnerois, estant des vieux soldats que feu Belsunce 1 nfamena, plus gentill1omme'que*riche, lequel ayant esté fort malade et despendu tout ce qu’il avoit peu espargner de ses monstres pas- sées, je luy ay fait depescher une ordonnance "de la somme de trois cens livres ; laquelleil vous presentera avec ceste-cy, et que je vous rie commander u’elle’lu soit ac uittée incontinent veu mesme — P (l Y (l . r ment que c'est le premier don que je luy ay faict), aflin qu’il s’en re- tourne trouverla troupe oùelle est. A Dieu, mon amy. Ce inf sep- tembre, à Fontainebleau, au soir. ' ‘ ‘- HENRY. i _[160Li.] ~ 13 srsrrsneas. lmprimé. - (Economics royales, édit. orig. t. Il, chap. 32. D [A M. DE ROSNY.] J . _ Mon amy, Ce pauvre marchand de Gisors qui vous rendra ceste- c s’en va vous trouver our le a ement de deux cent cin l 1te Y P P Y Cl ‘ Jean de Belsunce, vicomte de Macaie, pays de Soule, était le lils aîné de Jean de gouverneur du château de Mauléon et du Belsunce et de Catherine de Lux.
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