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Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome6.djvu/400

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LETTRES MISSIVES


(IUB je Pâyfî, CI1VOyéS Il]Oy UD CSUIÉ le plus SOIIl[l]3lI`€‘ (IUC VOUS POUITOS des debtes de ce Royaume de toutes les natures, sur lesquelles vous faictes PEly€I` TOUS les HDS quelque chose 1, Bt PHI` CC l"IlOyCH l.€UI` f&lI‘€ cognoistre qu’i ls s’abusent. Au reste, quant à la brouillerie, etc.”, il y' ' Acette lettreest jointe dans les OEcono- sur toutes sortes de re- ’ mies royales, comme réponse àla demande venus, dont les parti- du Roi, une pièce intitulée : Estat des culiers jouyssent par sommes acquittées à la descharge du Roi et leurs mains ou ne sont du Royaume. On y voit qu’il avait été payé payez par les ofliciers, à la reine d’Angleterre 7,370,800* les sommes en sont l Aux cantons suisses. 35,82S, li27"*6'2" eflroyables en principal : _ Aux princes d’Alle~ et d’autant qu’ils ne magne, villes impé- demandentplus rien au riales, reîtres et lans- Roy, à cause de leur quenets ............ l[|,689,33[| jouyssance, qu’un, deux Aux provinces unies ou trois quartiers dont . x des Pays-Bas ........ g,275, Z ;00 ils sont retrancliez, et Arrière des appoin que les arrerages en tements, de la solde et l sontcompris en l’articlc des frais divers, dus aux precedent, cestuy-ci militaires francais de seratiréparestimationà150,000, `000*` tout grade .......... 6,5li7,000 « Plus, pour toutes Sommes dues aux les debtes à quoy mon- financiers ......... . 28, li50, S60 tent tous les traittez Sommes dues à di- faits pour reduction de l vers particuliers, d’a- pays, villes, places et ' près les parties des particuliers en l’obeïs- comptes du roi Henri sance du Roy, afin de III qui purent être pacifier le Royaume,. . 32,277,321 ustifiées ........... 12,236,000 « Somme totale trois cent sept millions I Je citerai textuelle- six cent vingt mille deux cent cinquante ment les deux derniers livres. » - articles, Vient ensuite le détail du dernier ar- « Plus, pour les enga- ticle concernant les traités de la Ligue. gements de domaines, Les princes lorrains y figurent pour plus constitutions de rentes de la moitié. ’ Cet et cœtera et un autre un peu après Sully dut juger trop confidentiels pour les indiquent les endroits de cette lettre que publier.