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Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome6.djvu/418

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LETTRES MISSIVES


1605.- 20 Avait. - - IIm°. Orig. — Ms. appartenant à M. l’abbé Caron, à Versailles, pièce 75. A MON COUSIN LE CARDINAL DE JOYEUSE - pnorscmm DE Mns nminns EN counr DE nom :. Mon Cousin, J e vous ay cy-devant escript et parlé pour l’abbaye du ars, `a c — evan onnee en aveur us e i er, au ue `e a J q_]’yyd td ', l` drdsllyqljl desire conserver. Et d’autant que l’on a voulu faire croire au defiunct Pape que cela pouvoit porter prejudice à ce qui estoit de ses droicts, je vous ay bien voulu faire scavoir. par ceste lettre que je n'ay jamais eu in en ion en epren resur es oic s u aine iege ny iminuer t t d’ tr d 1 dr t d S tS d ceulx de Sa Saincteté en gratifiant le dict s' de Sillery de la dicte a a e.. umo en e uo, e our evier ou e conse ence, `e me bb y A y d q y t p t t t qu _] suis a vise e eman er a ic e a aye en grace puremen e sim- d ' d d d l d t bb t t plement pour le dict s' de Sillery, et donner à ceulx qui y pretendent droict deux mil livres de pension par chascun an sur l, CV8SCl1é .de i Bazas, en attendant qu’il se presente quelque autre occasion où je les puisse gratifier ; ce que vous leur pourrés faire sçavoir, si vous jugés qu’il soit à propos. Mais d’autant que je ne desire pas que mon nom soit employé en vain, je m’en remets à vostre prudence et discretion pour choisir le temps et Topportunité de rendre cest office avec elli- cace ; vous asseurant que-, pour les merites du dict s' de Sillery, que ‘ j’aime et affectionne comme vous sçavés, vous me ferés service tres agreable de vous y employer avec vostre dexterité accoustumée : priant Dieu, mon Cousin, qu’il vous ayt en sa tres saincte et digne garde. Escript à Paris, le xx° jour d'avril 1605.

HENRY.

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